Scénario 1: La ville archipel
Dans cette ville du futur, Lormes se développe comme une île (le bourg) et différents archipels (des centres d’intérêt). On imaginerait alors que le centre ville devient moins dense, que les maisons abandonnées laissent la place à des jardins… Les habitants du bourg auraient la même qualité de vie que dans les hameaux: de l’espace et de la verdure à proximité. Les autres îles ne seraient plus des périphéries mais des points d’activités, de commerces… Et entre toutes ces îles, il y aurait de nouveaux chemins, des raccourcis des voies vertes qui permettraient de passer d’île en île à pied…
Voir la planche du scénario de « La ville archipel »
Scénario 2: La ville linéaire ou le centre bourg étiré
Dans cette ville du futur, Lormes étend son centre ville. L’intensité de Lormes pourrait ainsi s’allonger entre la route d’Avallon et l’étang du Goulot. Le long de cet axe, une large place est faite au piéton. Les voitures se garent autour, sur des parkings relais et l’on vient faire ses courses à deux minutes à pied. La Rue Paul Barreau est ainsi de nouveau investie. Le garage devient un haut lieu d’activités culturelles et sportives. Le Fab Lab investit l’ancien garage de la porte d’Avallon, plus proche de la mission numérique. L’étang devient une des portes d’entrées de la ville, regroupant habitat, services et commerces. Le reste de la ville continue de vivre mais plus doucement, sans investissement massif de l’action publique.
Voir la planche de la « ville linéaire ou le centre-ville élargi »
Scénario 3: La ville saisonnière
Dans cette ville du futur, Lormes a différentes vies selon les saisons. L’hiver, nous pourrions vivre dans le centre, avec tous les commerces, les services les activités à 2 minutes à pied. Les anciens remparts seraient la limite de la ville lorsqu’il neige, lorsque l’activité est peu dense dehors. Tous les équipements publics de la ville, au fur et à mesure des années, viendraient s’installer dans ce grand centre, tout y serait accessible, on aurait
moins besoin de la voiture. Autour il y aurait de grands jardins, à 5 minutes à pied, 2 en vélo, où l’on irait l’été. Les logements seraient végétalisés, les commerces posséderaient une terrasse, un balcon, un lien avec l’extérieur. La nature serait plus habitée, avec de grandes cabanes, pour y dormir aux beaux jours ou y passer le dimanche. Le centre bourg serait réinvesti, on ne construirait plus en dehors de ces limites tant qu’il resterait de la place dedans. On accompagnerait ceux qui le veulent à adapter les vieux logements du centre à répondre aux besoins d’aujourd’hui.
Bonjour,
Site bien articulé où je découvre « enfin » le sens de l’action « petite ville du future » … Un beau projet de chemins verts qui reliera plus les hameaux isolés. Pour avoir un meilleur aperçu des photos, y a-t-il une salle d’exposition « permanente » avec des maquettes en relief exposant cette future architecture urbaine verte indépendamment des photos ?
Un bémol … mais je n’ai pas encore pris le temps de tout lire, aussi veuillez m’excuser si je soulève le fais l’observation suivante.
Vous vantez l’implication des bénévoles … Un habitant sur deux est bénévole je crois !
Mais où est l’unité entre les bénévoles qui agissent chacun dans leur coin ?
Où est la locomotive qui les unira pour mutualiser leurs actions qui restent souvent isolées ? Tout le monde fait tout et la même chose chacun de son côté …
C’est ballot cette perte d’énergie !!
Un autre facteur … Il manque un soutien logistique ponctuel aux dirigeants bénévoles pour les aider à « monter » leur dossier de demande d’aides financières auprès de toutes les instances d’état et de collectivités territoriales pour faire vivre leur association, Soutien logistique au modèle du Comité de Développement dans sa fonction d’aide à l’installation de porteurs de projets !!
Cordialement
Évelyne